Goerg, Edouard

EDOUARD GOERG

Retour à l'accueil - Cette page contient la biographie, une liste non exhaustive des expositions, des oeuvres dans les collections publiques et des résultats de ventes publiques du peintre

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Issu d'une famille champenoise, il nait à Sidney, Australie, en 1893, lors d'un séjour professionnel de son père. Après être passé par Londres, il arrive à Paris à l'âge de sept ans. A vingt ans, entre 1913 et 1914, il étudie la peinture à l'Académie Ranson avec Maurice Denis et Paul Sérusier. Il voyage en Italie et en Inde. Mobilisé en 1914, il est envoyé en Artois, puis en Argonne. A partir de 1920, il expose au Salon des Indépendants, puis au Salon d'Automne où il se lie avec Laboureur. Chez Berthe Weil, en 1924, il participe aux expositions du "groupe Gromaire", prélude à toute une série d'expositions à Paris (Berthe Weill, Bernheim Jeune), comme à Bruxelles (Le Centaure). Goerg illustre des livres dont Tableau de l'au-delà de F.Boutet. En 1928, il rencontre Paul Guillaume qui le fait exposer à Boston et à l'Art Institute de Chicago. Il continue à montrer ses oeuvres, satires des moeurs bourgeoises, chez Bernheim Jeune, puis chez Lucie Krogh. En 1934, il voyage en Belgique et en Hollande où il peint des toiles surréalistes qui seront exposées chez Jeanne Castel. En 1935-1936, il croise Aragon qui lui ouvre les portes des maisons de la cultures créées par l'association des Ecrivains et Artistes révolutionnaires. La guerre d'Espagne, ainsi que la Seconde Guerre mondiale le marquent profondément. Il doit protéger sa fille et sa femmes juives contre la poursuite des nazis. Cette dernière décèdera par manques de soins. En 1949, Goerg est nommé professeur aux Beaux-Arts et enseigne à la Grande Chaumière. Il est élu à l'Académie des Beaux-Arts en 1965. Il décède en 1969.

" Sa verve satirique est celle d'un Toulouse-Lautrec des Années folles. Goerg morigène le monde dont il est issu, son cérémonial, la morgue et la fausseté des importants " (Michel Charzat, La jeune peinture française)

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Biographie

Édouard Goerg est l'un des artistes majeurs de sa génération.

Dans les peintures de sa première période il a attaqué la moralité de la société bourgeoise d'après-guerre, et dans ce sens était semblable aux peintres expressionistes comme Georg Grosz. Les œuvres majeures de cette période sont: Pirate (1922); Gourmand (1923); Bar (1923); Mariage (1924); Fenêtre (1924); Don Quichotte (1925); et Bonne fortune (1925). Il voyagea beaucoup et, en 1935, visita les musées de Hollande, où il fut profondément influencé par les travaux de Hieronymus Bosch et de Bruegel. Il a ensuite réalisé une série de peintures sur le thème de la tragédie de la condition humaine, sous le titre générique : "C'est ainsi que le monde tourne sous l'œil de la police".Après la Seconde Guerre mondiale, il a sauvé son commentaire au vitriol pour ses gravures, et dans ses peintures cessé de critiquer la vie réelle et a plutôt célébré les charmes pervers des fleurs-filles. Il a illustré de nombreux livres, dont : Contes d'Hoffmann, Image de l'au-delà de Frédéric Boutet, Knock de Jules Romains, Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire, Le Livre de Job et Apocalypse de Saint-Jean par Sir Isaac Newton, qui ont tous démontré ses talents de graveur. Interrogé sur son art, il avoua qu'il avait d'abord voulu tenter de débloquer la «comédie des formes du quotidien». Essentiellement peintre de figures, il peignait généralement des groupes de nus féminins; cependant, ces nus sont souvent accompagnés de spectateurs masculins habillés de façon conservatrice, qui sont le symbole le plus durable de ses premières intentions comiques. Néanmoins, la comédie est chargée d'amertume et de sarcasme.Après plusieurs refus, il fut accepté au Salon des Artistes Indépendants en 1922. Son travail parut ensuite au Salon d'Automne, au Salon des Tuileries, au Salon des Peintres Témoins de Leur Temps et au Salon de la Société des Peintres-Graveurs, où il devient président d'honneur de 1945 à 1958. Il réalise sa première exposition personnelle à Paris en 1925. Après cela, il expose régulièrement en France et à l'étranger. Il y a eu plusieurs rétrospectives de son travail, notamment en 1988 au Grand Palais à Paris et au Salon du Verney à Vichy. En 1949, il reçoit le très prestigieux prix Hallmark pour la Nativité. En 1950, il reçoit le Prix Lugano de la gravure.

" Au milieu des années vingt, il a mis au point son code plastique : des toiles à la surface plane, une gamme chromatique qui s'est éclaircie avec des bleus et des verts phosphorescents, un métier qui veut transcender le sujet par la beauté intrinsèque. Goerg travaille avec la patience de l'alchimiste sa pâte qu'il superpose jusqu'à obtenir la somptuausité des émaux. Une magie picturale unifie les différentes périodes de l'oeuvre. (Michel Charzat, La jeune peinture française)

chronologie tirée du site http://edouardgoerg.fr1893 – 9 juin, naissance d’Edouard Joseph Goerg à Sidney (Australie), fils de Gustave Goerg, directeur des comptoirs familiaux du champagne Irroy en Australie et de Blanche Adet (mi-irlandaise, mi-bordelaise).

1894 – La famille s’installe à Londres

1900 – Arrivée à Paris, 111, rue de Longchamp (XVI°)

1903 – Etudes à Gerson puis Janson-de-Sailly

c.1910 – Décide de devenir peintre, contre l’avis de son père qui désire le voir s’associer à ses affaires 1912 – S’inscrit à l’Académie Ranson, où E. G. suit l’enseignement de Maurice Denis et Paul Sérusier. Il rencontre Ker Xavier Roussel et Paul Vallotton. S’installe dans un atelier 9, rue Campagne Première (XIV°) 1913 – Voyage d’études en Italie (Florence, Assise et Sienne)

1914 – Voyage aux Indes. Retour précipité en France à la déclaration de guerre. Mobilisé, il est envoyé dans la Somme, en Champagne et en Ardennes.

1915-1917- E. G. se porte volontaire dans l’armée d’Orient (18 mois)

1919 – Démobilisé, il retourne à l’Académie Ranson, où il rencontre Andrée Berolzheimer.

1920 – Expose pour la première fois aux Salon des Indépendants. 9 juin, épouse Andrée Berolzheimer.

1921 – mai-juin, voyage en Italie. Juin, le couple achète une maison à Cély-en-Bière en Seine-et-Marne.

1922 – Première exposition particulière à la Galerie Panardie, Paris Reçu au Salon d’Automne.

1923 – Rencontre Jean-Emile Laboureur à la Galerie Druet, qui lui présente Marcel Gromaire et l’incite à faire des eaux-fortes.

1924 – juillet, naissance de sa fille Claude-Lise.

1925 – Exposition Galerie Berthe Weill, Paris

1926 – Emménage Cité Seurat (101, rue de la Tombe Issoire, XIV°) dans une maison-ateliers (construite par André Lurçat) en co-propriété avec Marcel Gromaire. Nommé sociétaire au Salon d’Automne

1928 – Rencontre Paul Guillaume, grâce auquel il expose à Boston et à l’Art Institute de Chicago. Décès de son père, E.G. prend en charge sa mère.

1929 – Exposition particulière chez Georges Bernheim

1934 – E. G. change de style et de sujet, il commence une série d’oeuvres dites fantastiques. Entre en contact avec Emmanuel Mounier et le groupe Esprit.

1935 – mai-juin, exposition de ses oeuvres récentes chez Jeanne Castel. Rencontre Aragon et participe aux activités de l’A.E.A.R. Premier Salon du Temps présent, E. Goerg fait partie du comité organisateur, présidé par André Lhote.. Voyage en Belgique et en Hollande.

1936 – mai, participe au premier débat sur le Réalisme et la Peinture, organisé par la Maison de la Culture. 1937 – février, Edouard Goerg part, avec 6 autres membres de l’A.E.A.R. (Cabrol, Jannot, Labasque, Lauze, Lefranc et Masereel) en délégation à Barcelone. Participe avec 9 tableaux à l’exposition «Les Maîtres de l’art indépendant 1897-1937» au Petit-Palais

1938 – S’installe dans un hôtel particulier 11, rue Ducouédic (XIV°)

Deux jeunes espagnoles (1937-1938)

huile sur papier

en vente à notre catalogue

1939 – Avec la guerre, sa peinture s’oriente vers des thèmes féminins et floraux : «femmes- fleurs» qu’il peindra jusqu’à la fin de sa vie.

1940 – Signe un contrat avec la Galerie Drouant

1941 – Reste à Paris durant toute l’occupation

1944 – février, décès de son épouse Andrée, il est totalement abattu et seul un traitement de choc le rétablira. Aborde la lithographie. Juin, collabore à l’album Vaincre, édité par le Front National des Peintres au profit des Francs Tireurs et Partisans Français.

1945 – Président de la Société des Peintres-Graveurs français (jusqu’en 1958) Illustre L’Apocalypse de Saint-Jean (J. Haumont éditeur)

1946 – Nommé professeur de gravure à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Voyage aux Grisons avec les Marquet, offert par le gouvernement suisse aux artistes français. Décembre, voyage à Alger.

1947 – Second mariage.

1949 – Prix Hallmark, Chevalier de la Légion d’Honneur. Exposition à Londres.

1950 – Premier prix de gravure à Lugano.

1954 – Participe à la Biennale de Venise. Expositions au Caire, à Alexandrie et à Beyrouth.

1955 – Expositions à Sao-Paulo, Rio de Janeiro et Buenos-Aires

1956 – Décès de sa mère. Exposition à Nantes (Mignon-Massart), Reims (André Droulez), Nancy (Librairie des Arts, gravures), Strasbourg (Aktarius) et à Lausanne (Maurice Bridel et Nane Cailler).

1957 – Acquiert une propriété à Callian (Var).

1960 – Quitte définitivement Paris et la région parisienne pour s’installer à Callian.

1965 – Nommé membre de l’Institut à l’Académie des Beaux-Arts.

1969 – 13 avril, décès à Callian.

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E. Goerg, par Gaston Diehl, Editions de Clermont, Paris, 1947

Extraits

"Depuis près d'un siècle l'histoire de l'art a enregistré une série de révolutions successives dont on a pu, à justre titre, vanter l'ampleur et l'importance. Presque toutes, de l'impressionisme au nabisme, du fauvisme au cubisme, tendaient à libérer les moyens d'expression sur le seul plan de l'esthétique visuelle, dans le sens d'un renouvellement des formes plastiques ; cette extension du pouvoir de la visualité correspondant très exactement à l'évolution même de la société vers un développement fatal du matérialisme.

(...) Pourtant parmi les artistes il en est quelques-uns qui réclament de la vie toute sa plénitude et se refusent à cette acceptation tacite, à cette passivité un peu honteuse, à cette démission des forces morales et spirituelles. Ils ne craignent pas d'avouer ouvertement et hautement le drame qui est en eux et autour d'eux, les menaces qui planent. Ils dénoncent les faiblesses et les lachetés, ils délivrent les esprits et les espoirs qui sont communs à chacun. Ils se font pour ainsi dire l'interprète du destin et assignent devant celui-ci hommes et évènements.

(...) Aujourd'hui Rouault et Goerg qui appartiennent à cette même famille spirituelle commencent seulement avec le recul des années à être réhabilités vraiment et replacés comme ils le méritent, l'un par l'Eglise, l'autre par l'histoire. Et il y a là de quoi s'étonner dans un monde qui prône tant l'esprit de liberté et glorifie la volonté révolutionnaire. Car en fait ce sont eux plus encore que les meilleurs génies créateurs qui se présenteront dans l'avenir comme les véritables révolutionnaires. La révolte qui se manifeste en eux est totale, exigeante, despotique. Elle possède en soi une valeur d'éternité : elle est basée sur l'homme et non sur l'idée, elle va au fond des choses et dédaigne l'accidentel en dépit des apparences premières, et surtout elle conserve à la vie sa force jaillissante, sa densité et sa richesse. Au fur et à mesure leur oeuvre se définira avec une autorité croissante par rapport à notre époque, comme son portrait le plus lucide et le plus complet.(...) La place occupée par Goerg dans l'art contemporain a certes été reconnue depuis longtemps déjà, en raison même de la puissance d'expression et des qualités picturales de son oeuvre. Mais c'est seulement maintenant, à travers les différents aspects que cette dernière a pris, que l'on peut déduire sans confusion son importance effective et vérifier à quel point ce langage correspond aux données fondamentales de notre temps.

(...) Dès à présent l'horizon qu'une telle oeuvre découvre donne la mesure de son ampleur d'élocution et de son impérieuse légitimité. (...) Elle détermine la signification profonde de ce dernier quart de siècle ; elle en donne la définition la plus valable et la plus caractérisée. Elle se présente comme la conscience même de notre époque qu'elle assigne devant l'histoire en épousant par ses fluctuations toutes ses hésitations et ses tourments. (...) Elle résume admirablement chaque évènement majeur en ne gardant que l'essentiel, en le dépassant dans le temps et dans sa portée immédiate. Grâce à elle on peut retrouver l'atmosphère même de la première guerre mondiale comme de la seconde, celle des deux après-guerre comme celle des diverses crises ou incidents mondiaux.

(...) Ainsi, par la plus heureuse conjonction, cette oeuvre évoque sur le plan spirituel les faits saillants de l'époque et dépasse cette dernière, se détache du moment, en interprétant également le drame éternel de l'homme, sa solitude, son angoisse métaphysique, les désirs, les impuissances ou les désespoirs qu'il porte en lui. A la fois présente et virtuelle, elle n'est presque plus qu'un simple refuge, celui-là même que souhaite l'individu perdu au milieu de la foule et qui cherche à cacher son désarroi sous une apparence d'exaspération ou de défi. (...) Précocement mûri par la guerre de 1914 et douloureusement affecté pendant quatre ans par son spectacle de destruction et de mort, il en a gardé une particulière affectivité pour la souffrance humaine qui lui donne cette faculté de pénétration et cette étonnante clairvoyance en face des bouleversements et des convulsions incessantes de notre monde.

(...) L'univers dans lequel il nous introduit s'avère d'ailleurs intransmissible du point de vue formel, par sa propre subjectivité, par son intensité même et son pouvoir de révélation. (...) Les figures qui s'y meuvent, bien que réduites à l'état de signes, ont une valeur éternelle par la force de leur accent et leur degré d'humanité. Etirées et déformées jusqu'au rictus, simplifiées et évidées jusqu'au filigrane, elles se présentent cependant comme des êtres douées d'évidence par les caractères mêmes qu'elles accusent. A peine esquissées, ces silouhettes allusives qui conservent la gaucherie de l'intuition, semblent sortir directement du rêve intérieur. Elles ont l'immobilité étonnée, la naïve grandeur des personnages de jeux de massacre forains, et appartiennent à ce même légendaire caricatural et familier. Leur registre est presque aussi restreint et elles obéissent à un rituel à peu près semblable évoquant l'immuable géhenne. De la jeune rouée impudique à la matrone sans scrupule, du niais au faraud, du matamore au rapace, toute la comédie humaine défile ici en une ronde sans fin. Le vice ou la bêtise n'ont-ils pas toujours un visage identique ! Mais ces types traditionnels interprétés par un artiste de génie avec une extraordinaire acuité et un rare sens de l'observation prennent un relief extrême et deviennent de vivants symboles qui se renouvellent, tout en se répétant, grâce à leur puissance émotive. Quelques traits saillants, quelques taches de couleur suffisent à les définir avec exactitude et cette synthèse éloquente souligne d'autant la violence interne dont ils sont chargés.(...) Et derrière tous ces pantins, qui le disputent tour à tour au burlesque et au tragique, n'y a-t-il pas la nature condensée en brèves formes, suggestives par leur brutalité même ; et surtout l'espace, cet espace mystérieux, vague, incertain, toujours immense, phosphorescent, qui finit par s'imposer comme le signe propre de la fatalité, à laquelle nul, être ou chose, ne peut échapper ?(...) Quand enfin dans ses peintures à partir de 1933, durant les années de crise et d'inquiétude qui précédèrent la guerre, et récemment dans ses magnifiques séries d'illustrations pour "l'Apocalypse" ou "le Livre de Job", Goerg donne libre cours à son imagination prophétique et fait surgir un univers fantastique grouillant de larves immondes, n'est-ce pas tout l'inutile désespoir de notre monde d'aujourd'hui qu'il découvre en un message cosmique qui s'insère naturellement dans la tradition métaphysique des grands initiés ou visionnaires, de Jérôme Bosch à William Blake ?"

Vous pouvez vous procurer cet ouvrage sur le marché de l'occasion. Voir section Bibliographie.

Toujours la vie recommence (1958)

huile sur toile

en vente à notre catalogue

Expositions

Quelques expositions parmi d'innombrables :

1922 : Paris, galerie Panardie

1922 : Salon d’Automne

1925 : Paris, galerie Berthe Weill

1929 : Paris, galerie Georges Bernheim, exposition particulière

mai-juin 1935 : Paris, galerie Jeanne Castel Premier Salon du temps présent. Goerg fait partie du comité organisateur, présidé par André Lhote

1937 : Édouard Goerg part à Barcelone en février avec six autres membres de l’A.E.A.R. Il envoie neuf tableaux à l’exposition Les Maîtres de l’art indépendant 1897-1937 au Petit Palais à Paris

1954 : Biennale de Venise . Expositions au Caire, à Alexandrie et à Beyrouth

1955 : expositions à Sao-Paulo, Rio de Janeiro et Buenos-Aires

1956 : expositions à Nantes (Mignon-Massart), Reims (André Droulez), Nancy (Librairie des Arts, gravures), Strasbourg (Aktarius), Lausanne (Maurice Bridel et Nane Cailler)

2012 : Paris, Musée National d'Art Moderne (Centre Georges Pompidou), L'art en guerre.

Musées

Musée National d'Art Moderne, Centre Pompidou, Paris

Musée des beaux-arts de Menton

Musée Fabre, Montpellier

Musée des beaux-arts de Reims

Pierre Descargues dans Connaissance des Art, Juillet 1961 (Edouard Goerg, page 4)

Résultats de ventes

Le record, que nous connaissons, des oeuvres d'Edouard Goerg en vente publique a été établi à Drouot le 16 octobre 1994 à Paris. FF302.500 (frais de vente inclus) pour une huile sur toile de 80 x 129 cm intitulée "La ville". Le montant actualisé en mars 2018 : €45.700 ou $58,300 USD.

Puis "Les chevaux de bois aux Champs-Elysées" (FF300.000 fdvi, €43.500) huile sur toile à Drouot, Paris en 1990, "La vie recommence" (FF237.500 fdvi, €35.700) huile sur toile à Drouot, Paris, en 1993, etc...

Vous trouverez ci-dessous d'autres résultats avec photos. Pour calculer le montant actualisé, utilisez un convertisseur de monnaie avec conversion dans le passé.

Sotheby's - 9 février 2012 - Londres

Huile sur toile "Le portrait"

Cm : 81 x 59,5 cm Prix réalisé : £12.500 GBP fdvi, soit actualisé en mars 2018 : £13.720 GBP or €15.600

Drouot - 29 novembre 2009 - Paris

Huile sur toile "Les sisters"

Cm : 73 x 92 cm

Prix réalisé : €11.250 fdvi, soit actualisé en mars 2018 : €12.250

Drouot - 24 novembre 2010 - Paris

Huile sur toile "Le bal Nègre"

60 x 73 cm

Prix réalisé : €12.000 fdvi, soit actualisé en mars 2018 : €12.850

Ader - 30 mai 2007 - Paris

Huile sur toile "Le French Cancan"

100 x 50 cm

Prix réalisé : €12.000 fdvi, soit actualisé en mars 2018 : €13.500

12 février 2007 -Paris

Huile sur toile "Admiration"

100 x 81 cmPrix réalisé : €11.000 fdvi, soit actualisé en mars 2018 : €12.500

Christie's - 8 février 2013 - Londres

Huile sur toile "L'amoureux"

Cm : 65 x 54,4 cm

Prix réalisé : £6.880 fdvi, soit actualisé en mars 2018 : £7.350 GBP ou €8.400